пятница, 23 января 2015 г.

EDUARD ARTSRUNYAN. L’ARTISTE DES ARTISTES

   L'artiste peingnait sa dernière toile, et il ne savait pas à ce sujet, personne ne savait à cela. La rose rouge à ma main, le couvre-chef enveloppé à ma tête , je jouissais le plus   beau moment de ma vie.  Sous les sons paisibles de voix de Frank Sinatra baissait une belle  soirée tranquille du jour de l’an.

    D’abord les premières couleurs de rêve ont  commencé à courir à travers la toile,puis les lignes devenaient un tableau de personnage, moi et mes rêves, mon amour et mes désirs, Artsrunyan avec ses pinceaux et sa palette et nous avons uni ensemble nos désirs, et notre monde s’est généralisé. Trois jours après il ne manquais que trois coups de peinceau pour avoir une vue complète , mais il n'a pas envie de toucher  la toile.      Mon portrait a été confirmé  dans l'histoire de l'art arménien comme la dernière œuvre d'Eduard Artsrunyan.Après cela l’artiste a vecu  trois mois,il travaillait  une demi-heure dans la journée sur ses œuvres inachevées. L'artiste était déjà épuisé.  Peu -à-peu il perdait ses forces, toutefois l'imagination, son orientation vers un but précis lui faisait vivre. Il m’accompagnait aux coins les plus chers de son monde sensible,  il  m’introduisait  l'histoire de  la création de  ses tableaux préférés. 

    Maintenant le dernier portrait d’Artsrunyan ;mon portrait me salue chaque matin. Il semble que les deux Anahit se  regardent à la fois, mais en fait je vois en moi Artsrunyan. Je pense que ce tableau de la nuance inabituelle et féerique est la période de la vie totale que l’artiste a vécu, significative et engrun, peut-être sans fin comme l'art. Comme Artsrunyan disait, il a crée des miliers de tableaux, mais de toute façon, des milliers de tableaux ne sont pas encore nés. Il avait aussi d'autres rêves ; descendre à  son propre pied au moins une fois avec ses amis de l'Union des artistes dans le café et de rire à combler avec eux , de prendre le parfum des arbres fleuris. Il semble les souhaits sont très simples et facilement réalisables mais l’attaque d’apoplexie a cloué au lit l’artiste depuis six ans puis à voiture d’invalide. Malgré le fait que mon amitié avec Eduard Artsrunyan avait seulement l’ histoire d’ un an et deux mois ,il a réussi à devenir mon confesseur en peu de temps et sa voie passée est devenue un jalon  et un critère  pour moi. La manière dont on a vécu  ses dernières années on peut décrire comme l’exploit. Comme un véritable héros, il s’était tenu de l'art, qui a été la source de sa vie et les réalisations de toutes ses joies.La maladie a affaibli plus ou moins la main de l’artiste, mais sa conception du monde était devenue plus lumineuse et colorée. Aux lois de penitre adoptées remplaçaient les sensibilités cristallisées, la philosophie d’ Artsrunyan, une nouvelle façon de percevoir la vie et la réalité.
   Le maître tthématique de la composition n’a pas renoncé sa croyance adoptée pendant toute sa vie créatrice en restant fidèle aux sujets nationaux historiques, rurals et  quotidiens.

 Je pensait longtemps, qui est en réalité l’artiste, quelle est sa mission,jusqu’à ce que j’ai rencontré Eduard Artsrunyan ;une histore d’un portrait et l’amitié chaleureuse d’un an et deux mois. Il semble une chose impossible entre la fille de 29 ans et l’artiste de 80 ans.
    Mais ma connaissance réelle avec Artsrunyan a eu lieu encore en décembre de 1999, quand j’ai découvert pour la première fois les peintures d’Artsrunyan, qui aux jours sombres de décembre rapportaient une sorte de souffle et de la fièvre. A ce moment –là je n’ai jamais pensé que c’est exactement dix ans après j’allais être la kuratore de ses prochaines expositions organisées et qu’ Artsrunyan serait une personne très chere et proche dans ma vie.
Bien sur que c’est un grand honneur,le bonheur de mériter la confiance d’ Eduard Artsrunyan ,quand le maître à cheveux blancs te confie les travaux d’organisation des expositions consacrées au 80e anniversaire, te raconte les histoires les plus intéressantes de sa     vie, et que tu dois effectuer les rêves les  plus chers de toute sa sa     vie.
    Cependant, je suis une personne heureuse parce qu’en ce moment assise, j’écris sur Eduard Artsrunyan.
L’octobre de  2009 a été une période de travail prolifique pour moi, à ce moment-là j'ai eu l'occasion d'apprendre tout l’ héritage créatif de l’artiste Eduard Artsrunyan.
    J'ai été très impressionnée et choquée  Artsrunyan était  devant moi avec tout son charme  et puissance. Le fils d’ Artsrunyan, Artyom, en ma  présence montrait des peintures à son père, et le maître décidait lesquelles d’entre eux seront présentées à l’éxposition.
    Il semble que c’est un processus simple et clair, mais il va sans dire que la possibilité d’exception,   l'artiste avec ses peintures, un ensemble.
  Il fallait voir par quel enthousiasme il présentait l’histoire de la création de ces œuvres. 
     La chronique des peintures d’Eduard Artsrunyan est préservée depuis 1946.Dans l’autoportrait où  est Artsrunyan l’élève de 16 ans de l’école des Beaux-Arts au nom de Terlemezian, il est évident  tout à fait que l’artiste est toujours à la recherche, en plus de cela,dans la peinture on peut ressentir l’inspiration du maître bien-aimé d’un jeune artiste Stepan Arajanyan. Ensuite suivent les peintures faites à l’Académie des Beaux-Arts de Répine.L'étudiant arménien expose une brillante série de peintures toutes  crées de 1948 à 1951. Le portrait  d’une jeune fille russe ,un vrai chef-d'œuvre du musée, le portrait de Valya,le premier amour de l'artiste, une série d’autoportraits plus d'une dizaine. Artsrunyan promu de l'Académie des Beaux-Arts de Répine termine l’Université par excellence en  1957. Son travail de diplôme était  une composition énorme intitulée <<Maison vers les lieux natals>>. Les esquisses de l’artiste laborieux sont mentionnées depuis 1954, qui tend à montrer par quelle responsabilité et en détail Artsrunyan a fait son travail de diplôme. Dans les archives de l’artiste sont conservés presque une dizaine d’esquisses.
Aux années soixante il était  à la recherche.A ces années il créait peut, peut- etre pour la raison que la période coicidait  avec son  travaille actif dans l’ édition ‘’Placard’’. Si tout au début ‘’Placard’’ absorbait tout le temps, puis plus tard l’artiste commence à mettre en parallèle les œuvres de publication avec sa peinture préférée. C’étaient les moments heureux pour  Artsrunyan, quand toutes les rues de Moscou, étaient inondées  avec ses affiches, qui ont contribué à sa reconnaissance et d'être populaire, en ouvrant  la voie à l’artiste Edward  Artsrunyan.  Toutefois, cela ne signifie pas qu’ Artsrunyan n’était pas l’artiste admis dans ses milieux.Tout simplement l’apogée de l’artiste  était venue à la fin des années soixante jusqu’aux années 70-80 quand sont nés les chefs-d'œuvre de l’artiste,les vraies,compositions thématique d’Artsrunyan , nationales, rurales, de vie et littéraires,avec une énorme sonorité symphoniques d’histoire et de description. En disant  Artsrunyan  on croit voir tout d’un coup les toiles  <<Au moulin à eau>>, <<Année 1941>> <<J'aime mon mont Ararat>> <<Komitas>> <<Emigrés à Etchmiadzine>>, <<Cueilleurs des argousiers>>, << Portrait de la màre de l’artiste>>.Ces derniers sont entassées  extrêmement facile dans les représentations des amis des arts. Mais  les chefs-d'œuvre de l'art d’Artsrunyan ne se limite pas par les énumerés.Leur  nombre dépasse déjà cent.
  Artsrunyan était devenu le maître dans le tourbillon d’Izmer à la fin des années 90 et dans les années 80 commence à esseyer ces forces  dans les différentes directions de peinture. Il unit au réalisme les principes de dessin abstrait, cubique en créant les peintures d'interprétation fraîche et originales. La chose étrange est que les intérêts thématiques de l'artiste restent les mêmes tout simplement à la suite de la modification s’enregistre de nouvelles qualités. La toile crée en mémoire de ,,Victimes du séisme  de 1988 est le résultat de la manifestation du cubisme, il y a des œuvres, qui sont purement  abstraites’’Mélodie d’automne’’ / 1990 /,’’Dans l’atelier d’artiste’’  / 1992 /, et  œuvre<< Hôtesse>> crée en1993 est le cas d’expression de fauvisme. Les manifestations du post- impressionnisme sont conservées dans les natures mortes, qui malheuresement se conservent dans les collections privées à l’étranger.   Il faut noter que dans la période post- apoplectique de l’artiste /2204-2010/ s’enregistre de grands chagements dans son art, les couleures deviennent plus décoratives, les coups de pinceau plus intense, de temps en temps l’artiste s’adresse à l’impressionnisme,qui est une nouvelle manifestation dans son art.    << A Yayla >>, <<Printemps>>, << Fille de vallée de l’Ararat >>, <<On a fiancé  Maro>>.
    <<Pour moi, l’essentiel dans la peinture est l’harmonie des  moyens d’expressions et du contenu. Tout d'abord, le plus important pour l'artiste est la maîtrise quand ton esprit et tes mains travaillent harmonieusement , lorsque ta main et ton esprit peuvent effectuer les images tournantes de ton imagination et de ton cerveau. Les artistes comprendront de quoi  ils’agit. Dieu merci, ce problème a été encore résolu pour moi pendant des années d'études à l'Académie au nom de Répine. Souvent j’interptéte les mêmes thèmes d’une façon différente,en montrant comme sont beaucoup les possibilités du  dessin.
      En fait, à chaque pas  de la vie on voit une chose nouvelle, la vie est une surprise en elle-même, et on essaie de  rendre ces impressions en image.C'est le sens de la vie. Souvent on pense qu’on a tout vu ou senti, mais viens et vois. ce n'est pas comme ça.Par exemple on peut regarder longtemps aux peintures de Rembrand,et je ne me saturerai pas, c’est un artiste brillant, chaque fois Gogen et Vrubel m’admirent, Matis m’étonne par la laconisme de sa ligne.      Je ne sais pas quoi dire d'autre,ce ne sont que les impression du dessin,- dit Artsrunyan.<<J'aime  beaucoup mon pays, mon peuple  avec son chemin passé, avec ses coutumes et ses traditions, et qui est clairement évident dans mes peintures.J’ai peingné en toute honnêteté, ce que j'aime, bien que parfois je me suis limité.Aujourd’hui les possibilité de l’artiste contemporaine se sont développées beaucoup, il n'y a plus besoin de toile et de peinture pour  créer une véritable oeuvre d'art. .Aujourd’hui l'esprit,l’idée  sont considérés comme de l’art, c’est merveilleux le travaille de l’artiste est devenu  plus facile.C’est dommage que je ne  suis pas à pied, sinon je ferai de nouvelles choses, j’aime les innovations>>. 
   Je crois Artsrunyan, car il me surpris chaque instant par son desir de s’integrer à la vie moderne et aux developpements techniques. A l’âge de quatre vingt-vingts ans  il regardait par l’ordinateur les œuvres de ces artistes préférés,il enregistrait les films sur l’art transmis à la télé et créait la vidéothàque.    Il vivait. Tel était Artsrunyan.Et certainement que collaborer d’un tel artiste et surtout se lier d’amiter était mon plus grand plaiser.
     En revenant à l'exposition, je dois dire qu’avec Artsrunyan nous avons vu  environ  600  toiles en choisissant 180 emplois, dont un tiers s’est rendu à l’atelier à cause de ne pas trouver le lieu dans le Salon. .
L’ami des arts a accueilli Artsrunyan par des applaudissements au jour de l’ouverture de l’exposition consacrée à son 80e anniversaire.   Après la pause de dix ans l’artiste avait touché et faisait muet son admirateur, qui pourrait penser qu’un peintre en fauteuil roulant pourrait dessiner comme ça, en plus, dire quelque chose de nouveau à son ami des arts.Le plus impressionnant était le flux humain à l’exposition,quand tous voulaient serrer la main du maître, photographer avec lui, dire leur parole d’admiration.Qui pourrait penser que de sa ville natale Gyumri, un bus plein d’enfant se rendrait à Erevan pour faire la connaissance de l’art Artsrunyan, ils ne savaient pas que quelques jours après l'exposition allait s’ouvrir devant eux. Voici ce que l’un des visiteurs de l'exposition  l’artiste Avetis Katchaturian  a écrit <<Je pense que je suis un artiste ... vous êtes un véritable artiste, je voudrais vivre toute ma vie entouré de ce monde... C'est mon conte réel, le récit de l'homme réel.
Non, il ya certainement un souffle de Dieu dans ce conte, dans les  peintures d’ Eduard Artsrunyan. Je m'incline.>>. Il est difficile de s'attendre à une évaluation plus honnête. 

ANAHIT KORYUN
Le derniere toile d' Artsrunyan. Portrait d'Anahit 

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